Le citoyen qui est décédé lors de sa détention par la Sûreté du Québec a été officiellement identifié par le Bureau du coroner. Il s’agit d’Alonzo Bergeron, un homme de 55 ans qui résidait à Joliette. Le BEI continue d’examiner les circonstances entourant cet événement. Aucune autre information n’est disponible actuellement. Le Bureau des enquêtes indépendantes a pour mission de faire enquête dans tous les cas où une personne autre qu’un policier en service, décède ou subit une blessure grave ou est blessée par une arme à feu utilisée par un policier lors d’une intervention policière ou durant sa détention par un corps de police.
Le Bureau des enquêtes indépendantes enquête sur les circonstances entourant un événement survenu à Montréal. Une dame de 72 ans armée d’un couteau se serait infligé des blessures graves lors d’une intervention du Service de police de la Ville de Montréal. Les renseignements préliminaires communiqués au BEI suggèrent ce qui suit : - Vers 21 h 00 jeudi soir, une dame aurait téléphoné au 911 et demandé l’aide des policiers parce qu’elle avait peur d’un membre de sa famille- Les policiers se seraient présentés sur les lieux et auraient constaté que la dame était seule et en état d’ébriété- Les policiers lui auraient offert de la conduire dans un centre de répit pour la nuit et la dame aurait accepté- Le centre de répit n’aurait pas été en mesure d’accepter la dame- Les policiers auraient proposé à la dame de la conduire à l’hôpital, ce qu’elle aurait initialement accepté de faire avant de refuser une fois en route - Les policiers l’auraient raccompagnée à son appartement où elle aurait pris un couteau pour se poignarder à l’abdomen- La dame a été transportée à l’hôpital où on ne craindrait pas pour sa vie L’enquête du BEI permettra notamment de déterminer si ces informations sont exactes. 9 enquêteurs du BEI ont été chargés d’enquêter sur cet événement et l’heure d’arrivée prévue (HAP) à la publication de ce communiqué est 15 h 00. Conformément au Règlement sur le déroulement des enquêtes du Bureau des enquêtes indépendantes, le BEI a fait appel à la Sûreté du Québec pour agir comme corps de police de soutien dans cette enquête. La SQ fournira 1 technicien en identité judiciaire qui travaillera sous la supervision des enquêteurs du BEI. Le BEI demande à quiconque aurait été témoin de cet événement de communiquer avec lui via son site web au www.bei.gouv.qc.ca Aucune autre information n’est disponible actuellement. Le Bureau des enquêtes indépendantes a pour mission de faire enquête dans tous les cas où une personne autre qu’un policier en service, décède ou subit une blessure grave ou est blessée par une arme à feu utilisée par un policier lors d’une intervention policière ou durant sa détention par un corps de police.
Le Bureau des enquêtes indépendantes enquête sur les circonstances entourant un événement survenu à Montréal* le 25 février 2018. Un homme de 28 ans aurait été blessé par arme à feu lors d’une intervention du Service de police de la Ville de Montréal. Les renseignements préliminaires communiqués au BEI suggèrent ce qui suit :- Dans la journée du 25 février, un homme de 28 ans aurait été conduit dans un centre hospitalier par des policiers du SPVM pour un problème lié à la consommation de drogue- À sa sortie de l’hôpital, l’homme aurait commis un vol qualifié en volant une voiture- Une courte poursuite policière aurait été annulée rapidement par les policiers qui l’auraient jugée trop dangereuse- Le véhicule volé aurait été localisé plus tard en soirée dans l’ouest de Montréal par des policiers près d’un restaurant- Croyant à tort l’homme à l’intérieur du restaurant, les policiers se seraient approchés du véhicule à pied- L’homme aurait alors tenté de fuir en fonçant vers eux avec son véhicule- Des policiers auraient fait feu en direction du véhicule qui aurait réussi à s’enfuir sur l’autoroute 40 Ouest- Après une poursuite sur l’autoroute, le véhicule aurait été immobilisé par des véhicules du SPVM et un de la Sûreté du Québec- Les policiers auraient utilisé l’arme à impulsion électrique pour maitriser l’homme et auraient alors constaté qu’il avait été atteint par balle lors de l’intervention près du restaurant- Il a été transporté à l’hôpital où on ne craindrait pas pour sa vie- Des policiers auraient subi des blessures ne mettant pas leur vie en danger lors de l’intervention. L'enquête du BEI permettra notamment de déterminer si ces informations sont exactes. 9 enquêteurs du BEI ont été chargés d’enquêter sur cet événement et ils sont arrivés sur la scène à 3 h 30 le matin du 26 février. Conformément au Règlement sur le déroulement des enquêtes du Bureau des enquêtes indépendantes, le BEI a fait appel à la Sûreté du Québec pour agir comme corps de police de soutien dans cette enquête. La SQ fournira 2 techniciens en identité judiciaire et 1 reconstitutioniste qui travailleront sous la supervision des enquêteurs du BEI. Le BEI demande à quiconque aurait été témoin de cet événement de communiquer avec lui via son site web au www.bei.gouv.qc.ca Aucune autre information n’est disponible actuellement. Le Bureau des enquêtes indépendantes a pour mission de faire enquête dans tous les cas où une personne autre qu’un policier en service, décède ou subit une blessure grave ou est blessée par une arme à feu utilisée par un policier lors d’une intervention policière ou durant sa détention par un corps de police. *Lors du déclenchement de l'enquête, il a été mentionné que l'événement avait eu lieu à Montréal alors que celui-ci est survenu à Dollard-des-Ormeaux.
Le Bureau des enquêtes indépendantes enquête sur le décès d’un homme de 51 ans survenu lors de sa détention par la Sûreté du Québec. Les renseignements préliminaires communiqués au BEI suggèrent ce qui suit : - Vers 13 h 20, le 20 février, des policiers de la SQ auraient procédé à l’arrestation d’un homme qui faisait l’objet d’un mandat- À bord de l’auto-patrouille, il se serait volontairement cogné la tête contre un cadrage jusqu’à s’ouvrir le front- Les policiers l’auraient alors conduit à l’hôpital où on lui aurait fait des points de suture, avant qu’il obtienne son congé et qu’il soit remis à la garde des policiers- Vers 15 h 35 il aurait été placé en cellule, au poste de la SQ - Le 21 février, tôt le matin, il aurait été trouvé mort dans sa cellule L'enquête du BEI permettra notamment de déterminer si ces informations sont exactes. 7 enquêteurs du BEI ont été chargés d'enquêter sur cet événement et l’heure d’arrivée prévue (HAP) à la publication de ce communiqué est 12 h 00. Conformément au Règlement sur le déroulement des enquêtes du Bureau des enquêtes indépendantes, le BEI a fait appel au Service de police de la Ville de Montréal pour agir comme corps de police de soutien dans cette enquête. Le SPVM fournira 2 techniciens en identité judiciaire qui travailleront sous la supervision des enquêteurs du BEI. Aucune autre information n'est disponible actuellement. Le Bureau des enquêtes indépendantes a pour mission de faire enquête dans tous les cas où une personne autre qu'un policier en service, décède ou subit une blessure grave ou est blessée par une arme à feu utilisée par un policier lors d'une intervention policière ou durant sa détention par un corps de police.
Le BEI a complété son enquête indépendante sur les circonstances entourant l’événement survenu à Montréal le 15 juin 2017, au cours duquel Noam Cohen, un homme de 27 ans résident de Montréal, est décédé. L’enquête démontre les faits suivants : Le 15 juin 2017, vers 01 h 42, un appel est logé au 911 par un membre de la famille d’un homme qui serait en état d’ébriété et en crise. Celui-ci aurait tenu des propos menaçants avant de quitter la résidence familiale avec son véhicule. Des policiers arrivent à la résidence d’où provient l’appel et constatent la présence d’agents de la Sécurité publique de Côte-St-Luc et d’un homme au volant d’un véhicule utilitaire sport (VUS). Les policiers interpellent l’homme et lui ordonne de sortir. L’homme refuse d’obtempérer et quitte à grande vitesse à bord de son véhicule alors que les policiers doivent se barricader pour l’éviter. S’en suivra une poursuite d’une dizaine de kilomètres pendant laquelle l’homme conduira dangereusement, notamment en circulant à grande vitesse en sens inverse, en frappant des cônes et en traversant une zone de construction contrôlée par des signaleurs qu’il a failli heurter. Des policiers tentent à deux reprises d’immobiliser le véhicule en le percutant sans succès. Après une troisième manœuvre des policiers, le VUS entre en collision avec une clôture. Des policiers sortent de leur auto-patrouille pour rejoindre le véhicule fuyard. L’homme réussit à se dégager et fait marche arrière rapidement. Un policier fait feu et atteint le conducteur par balle. Noam Cohen est transporté à l’hôpital où son décès est constaté. Conformément à la Loi sur la police, le BEI a transmis son rapport au Directeur des poursuites criminelles et pénales le 19 février 2018. C’est sur la base de ce rapport que le DPCP déterminera s’il y a lieu de porter des accusations contre les policiers impliqués. Rappelons que le rapport produit par le BEI n’est pas public puisqu’il contient des renseignements sensibles et nominatifs, des déclarations des personnes impliquées et des témoins de même que des éléments de preuve. Conséquemment aucune autre information sur les faits ou sur l’enquête ne sera divulguée par le BEI.
Conformément à la Loi sur la police, le BEI a remis son rapport d’enquête sur l’événement survenu à L’Île-Perrot au Directeur des poursuites criminelles et pénales. À la suite de la décision du Directeur des poursuites criminelles et pénales de ne pas porter d’accusation contre les policiers impliqués, le BEI ferme le dossier BEI-2016-009. Résumé de l’événement Chad Murphy, un homme de 45 ans, est décédé lors d’une intervention de la Sûreté du Québec (SQ) le dimanche 2 octobre 2016. La trame factuelle de cet événement est relatée dans le communiqué du Directeur des poursuites criminelles et pénales. L’enquête indépendante Heure de l’événement : 20h38Heure du signalement au BEI : 21h35Déclenchement de l’enquête : 21h39 Le BEI a déployé 8 enquêteurs qui, avec le support de 2 techniciennes en identité judiciaire du Service de police de la Ville de Montréal, avaient la tâche de faire la lumière sur cet événement. Lors du déploiement initial, l’équipe est arrivée sur les lieux à 00h25 le 3 octobre et a terminé l’examen de la scène vers 15h00. Dans ce dossier, le BEI a rencontré 15 témoins civils, incluant les premiers répondants et les ambulanciers, ainsi que 14 policiers. Le policier témoin et les 3 policiers impliqués ont tous été rencontrés dans les délais légaux prévus au Règlement sur le déroulement des enquêtes du Bureau des enquêtes indépendantes, soit respectivement 24 heures et 48 heures suivant l’arrivée des enquêteurs du BEI sur les lieux de l’événement. Les informations obtenues pendant l’enquête permettent de conclure que les obligations des différents acteurs décrites dans le Règlement sur le déroulement des enquêtes du Bureau des enquêtes indépendantes, notamment celles des policiers témoins, des policiers impliqués et du directeur du corps de police impliqué, ont été respectées. Le contenu de toutes les entrevues a été remis au DPCP. Le rapport d’enquête du BEI comprenait notamment:- Les comptes rendus des policiers impliqués et témoins exigés par le Règlement- Les rapports de la Sûreté du Québec concernant l’événement, incluant les cartes d’appels 911 et les enregistrements pertinents des ondes radios- Le dossier de formation des policiers impliqués- Les différents rapports d’expertise jugés nécessaires, notamment en biologie, en balistique et en toxicologie- Les informations personnelles pertinentes concernant Chad Murphy- Le rapport d’étude de la scène- Le rapport d’autopsie- Les rapports de contrôle et de suivi des pièces saisies- Les extraits pertinents des calepins de notes des enquêteurs du BEIDe plus, le BEI avait désigné un enquêteur pour assurer, tout au long de l’enquête, la liaison avec la famille du civil impliqué et l’informer du déroulement ainsi que de la conclusion de celle-ci. Le Bureau des enquêtes indépendantes a pour mission de faire enquête, à la demande du ministre de la Sécurité publique, dans tous les cas où une personne autre qu’un policier en service, décède ou subit une blessure grave ou est blessée par une arme à feu utilisée par un policier lors d’une intervention policière ou durant sa détention par un corps de police.
Le BEI a complété son enquête indépendante sur les circonstances entourant l’événement survenu à Saint-Bernard-de-Lacolle le 31 mars 2017 au cours duquel Patrice Boire, un homme de 33 ans résident de Napierville, est décédé. L’enquête démontre les faits suivants : Le 31 mars 2017, vers 02h50, des policiers de la SQ, immobilisés sur la voie publique, aperçoivent un véhicule arrivant très rapidement dans leur direction. Ils utilisent le cinémomètre qui indique que le chauffeur roule à 176 km/h. Ce dernier passe en trombe à côté d’eux. Les policiers constatent qu’il ne fait pas son arrêt obligatoire à un feu clignotant. Le véhicule patrouille fait demi-tour, gyrophares en fonction. Étant donné sa grande vitesse, le véhicule fuyard prend de la distance et les policiers le perdent de vue. Ils retrouvent le véhicule lourdement accidenté et sur le capot, à la sortie d’une courbe. Les policiers font alors appel à des ressources supplémentaires. Ils tentent de sortir le conducteur de l’habitacle, sans succès. Lorsque les pompiers arrivent sur les lieux, ils utilisent les pinces de désincarcération. Des manœuvres de réanimation sont prodiguées. L’homme est transporté à l’hôpital où son décès est constaté. Conformément à la Loi sur la police, le BEI a transmis son rapport au Directeur des poursuites criminelles et pénales le 9 février 2018. C’est sur la base de ce rapport que le DPCP déterminera s’il y a lieu de porter des accusations contre les policiers impliqués. Rappelons que le rapport produit par le BEI n’est pas public puisqu’il contient des renseignements sensibles et nominatifs, des déclarations des personnes impliquées et des témoins de même que des éléments de preuve. Conséquemment aucune autre information sur les faits ou sur l’enquête ne sera divulguée par le BEI.
Le BEI a complété son enquête indépendante sur les circonstances entourant l’événement survenu à Montebello le 6 octobre 2016, au cours duquel Danny Lafrance-Godmer, un homme de 29 ans résident de cette municipalité, est décédé. L’enquête démontre les faits suivants : Le 6 octobre 2016, vers 16 h 00, un appel est logé au 911 à propos d’un homme en crise qui aurait tenu des propos suicidaires. Vers 16 h 15, les policiers de la Sûreté du Québec arrivent à sa résidence et entrent. Ils appellent l’individu, mais n’obtiennent aucune réponse. Ils fouillent donc la maison à 2 reprises, en continuant à l’appeler. Lorsqu’ils ressortent, ils obtiennent l’information à l’effet qu’il serait caché au grenier. Les policiers retournent à l’intérieur et montent au grenier. Découvert, Danny Lafrance-Godmer se lève brusquement. Il brandit un couteau dans les airs et se dirige alors vers un des policiers qui le somme de lâcher son arme et de reculer. L’homme n’obtempère pas. Il continue à avancer vers les policiers, toujours avec son couteau. L’un d’eux l’atteint alors par balle. Il est transporté à l’hôpital où son décès est constaté. Conformément à la Loi sur la police, le BEI a transmis son rapport au Directeur des poursuites criminelles et pénales le 6 février 2018. C’est sur la base de ce rapport que le DPCP déterminera s’il y a lieu de porter des accusations contre les policiers impliqués. Rappelons que le rapport produit par le BEI n’est pas public puisqu’il contient des renseignements sensibles et nominatifs, des déclarations des personnes impliquées et des témoins de même que des éléments de preuve. Conséquemment aucune autre information sur les faits ou sur l’enquête ne sera divulguée par le BEI.
L'homme qui a été blessé par balle lors de l’événement survenu à Maniwaki est toujours hospitalisé, mais maintenant considéré hors de danger. Le constable spécial a, quant à lui, reçu son congé de l’hôpital. Le BEI a l’obligation de protéger les renseignements personnels des citoyens impliqués dans les événements sur lesquels il fait enquête. Ainsi, aucune autre information sur leur état ne sera communiquée. Le BEI continue d’examiner les circonstances entourant cet événement. Le Bureau des enquêtes indépendantes a pour mission de faire enquête, à la demande du ministre de la Sécurité publique, dans tous les cas où une personne autre qu’un policier en service, décède ou subit une blessure grave ou est blessée par une arme à feu utilisée par un policier lors d’une intervention policière ou durant sa détention par un corps de police.
Le Bureau des enquêtes indépendantes enquête sur les circonstances entourant un événement survenu à Maniwaki le 31 janvier 2018. Un homme de 18 ans aurait été blessé par une arme à feu au Palais de justice de Maniwaki. Les renseignements préliminaires communiqués au BEI suggèrent ce qui suit :- Vers 13 h 00, une altercation serait survenue entre un constable spécial et un homme- L’homme aurait réussi à s’emparer du bâton télescopique du constable spécial et lui en aurait asséné un coup sur la tête- Le constable spécial aurait alors saisi son arme à feu et aurait atteint le civil d’au moins une balle à la tête- Le constable spécial et le civil auraient été transportés à l’hôpital. On ne connait pas pour l’instant l’état de santé du civil ni du constable spécial 8 enquêteurs du BEI ont été chargés d’enquêter sur cet événement et l’heure d’arrivée prévue (HAP) à la publication de ce communiqué est 21h00. Conformément au Règlement sur le déroulement des enquêtes du Bureau des enquêtes indépendantes, le BEI a fait appel au Service de police de la Ville de Montréal pour agir comme corps de police de soutien dans cette enquête. Le SPVM fournira 2 techniciens en identité judiciaire qui travailleront sous la supervision des enquêteurs du BEI. Le BEI demande à quiconque aurait été témoin de cet événement de communiquer avec lui via son site web au www.bei.gouv.qc.ca Aucune autre information n’est disponible actuellement. Le Bureau des enquêtes indépendantes a pour mission de faire enquête, à la demande du ministre de la Sécurité publique, dans tous les cas où une personne autre qu’un policier en service, décède ou subit une blessure grave ou est blessée par une arme à feu utilisée par un policier lors d’une intervention policière ou durant sa détention par un corps de police.